dimanche 19 octobre 2014

Mais qui sommes nous ?

Bon, j'imagine que la plupart des lecteurs de ce blog connaissent déjà Alice, mais ça ne coûte pas grand chose de refaire une petite présentation !

Alice, c'est elle :
Alice à Barcelone
Elle a grandi dans les Deux-Sèvres, à la campagne, mais elle en est partie après le bac pour aller à Tours en prépa (c'est là qu'on s'est rencontrés), puis à l'école nationale supérieure d'agronomie de Toulouse (ENSAT, 2 ans), puis en année de stages à l'étranger (Pérou, Australie avec un intermède de 5 mois en France), puis 6 mois à Montpellier pour sa spécialisation de dernière année d'ingénieure, puis 6 mois de stage an Alsace, puis 4 mois de recherche d'emploi à Nancy, et enfin 6 mois de CDD en Alsace. Vous avez compris qu'elle n'a pas peur de voyager !

Son dada, c'est l'élevage, et plus particulièrement les systèmes d'élevage qui tendent vers le maximum d'autonomie, en utilisant les ressources locales*. C'est pour ça qu'elle est venue à Montpellier pour sa spécialisation d'ingénieure "élevage en milieu difficiles" ; elle y a pas mal étudié l'élevage montagnard par exemple. Et c'est aussi une des raisons pour lesquelles on part en Nouvelle Zélande : là-bas, l'élevage se fait majoritairement à l'herbe* ! Du coup, travailler en élevage là-bas, c'est pas mal du tout pour se former dans le domaine.

* Précisions sur l'alimentation animale en élevage : il est très courant en France (et ailleurs) que les animaux soient nourris avec des céréales, du maïs ensilé, des tourteaux de soja... Parfois avec très peu d'herbe dans l'alimentation des ruminants. Des vaches élevées en bâtiment et nourries au maïs, c'est relativement courant, pas seulement dans les très grandes exploitations. Ça n'est pas le cas partout, et il est bien sûr possible de faire de l'élevage avec que de l'herbe (ou presque) !


Lui, c'est Valentin.
Les carottes, ça rend aimable

Il aime la couture, faire la cuisine et la dévorer, surfer sur randonner-leger.org. Il aime aussi les carottes et parler anglais (sans l'accent français, autant que faire se peut).

Son rêve d'enfant c'est de sauver le monde, et pour ça il a choisi d'étudier l'agronomie. Deux années de prépa bio (BCPST) à Tours suivies de trois années rondement menées à Supagro (Montpellier), et hop le voilà dans l'Est pour gérer les histoires de boues d'épuration compostées. Après un an en Lorraine, on a décidé de partir, pour la Nouvelle-Zélande.


Rando itinérante : 4 jours dans le Jura (mai 2014)
Notre truc à nous c'est la randonnée itinérante, partir plusieurs jours en autonomie en optimisant au mieux le matériel pour ne pas crouler sous le poids des sacs. Notre séjour en Nouvelle Zélande sera l'occasion d'expérimenter un nouveau terrain de jeu.